Paint me like one of your Disney Vilain
Cinéma et Série TV pour éviter de t’ennuyer lors de tes froides nuits d’hiver, par ici, on va parler surtout de représentations
Le Queer-Coding est un mécanisme d’écriture courant. Cela se traduit par le fait de donner une certaine attitude à un personnage, qui lui suppose une certaine orientation sexuelle. Malheureusement, force est de constater que le Queer-Coding se fait surtout autour des méchants dans les oeuvres de fictions…
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Le 8 Mars est la Journée Internationale des droits de la femme. Et pour l’occasion, c’est la série : Why Womens Kill que je passe au fil du rasoir. Ryan Murphy est connu pour Desperates Housewives, une série télé cynique présentant un panel de femmes désespérées par leurs mariages… Chose que l’on retrouve dans Why Womens. Alors ? Est-ce qu’on peut dire que c’est une oeuvre féministe ?
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À en croire les grandes surfaces, le 14 février ne devrait pas tarder à arriver. Et en ce jour de fête de l’amour, il est temps de revenir avec un ton plus grinçant qu’habituellement. À croire que pour le marketing, seuls les hétérosexuels fêtent la Saint-Valentin. Cela me fait penser aux reproches que j’entends souvent, lorsqu’un couple non-hétéro est représenté dans une série ou un film : cette romance n’est pas nécessaire, on s’en fiche. Ah. Le paradoxe avec cette remarque, c’est qu’on ne l’entend jamais lorsqu’il s’agit de couples hétéros. Même lorsque la romance n’est qu’accessoire et ajouter parce que… qu’est-ce que serait un bon film d’action sans que le héros mâle pêchote la jolie blonde ?
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Le Queer-Baiting est une intention fallacieuse : faire croire sans jamais le confirmer qu’un personnage dans une série est Queer. Le but ? Créer du fan-service, et ramener un public qui ne se serait pas intéressé spécialement à l’oeuvre sans ce détail. Retour sur une technique d’écriture controversée.
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Willy Wonka est un personnage ambivalent, protagoniste de Charlie et la Chocolaterie, c’est un génie et un esprit créatif. Qu’on se le dise bien : il est queer-coded, et c’est dans ce sens que je vous propose d’analyser ce film de Tim Burton, adapté du roman de Roald Dahl.
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